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3 astuces pour rester productif quand on travaille de chez soi
Télétravail : 3 astuces pour rester productif quand on travaille de chez soi

Télétravail : 6 astuces pour optimiser votre efficacité | MovingWaldo
Chers lecteurs, je viens partager dans cet article quelques astuces pour rester productif quand on travaille de chez soi. En effet, dans le contexte de la pandémie liée au coronavirus, le télétravail constitue l’ultime option choisie par les entreprises pour avoir de meilleurs résultats. Adopter le télétravail, c’est permettre à ses collaborateurs de travailler depuis chez eux et ceci s’avère très important à l’ère du numérique. Cependant, entre bruits et imprévus, il n’est pas toujours facile d’être productif quand on travaille depuis la maison.

Je partage avec vous 03 astuces pour rendre le télétravail agréable et rester productif en travaillant de chez soi. Cliquez pour tweeter

Comment rester productif quand on travaille de chez soi ?

Dans le contexte de la pandémie Covid-19 et dans certains contextes particuliers, beaucoup de personnes dont le travail exige la présence physique perdent leurs emplois. Beaucoup de travailleurs se reconvertissent dans le freelance. Il existe donc des options pour travailler de chez soi. Il s’agit bien de travaux que vous pouvez rendre à distance, sans vous lever et aller vers un bureau quelconque. Dans ce cas de figure, votre bureau, c’est votre maison ou un lieu où vous décider de travailler. Mais force est de constater que ce n’est pas toujours facile de travailler à distance. Il se pose évidemment la question de savoir comment rester productif quand on travaille de chez soi. Dans les prochaines lignes, je vous partage quelques astuces pour rester productif quand on travaille depuis la maison.

1.     Bien choisir son espace de travail

Pour rendre le télétravail agréable et optimiser votre activité depuis la maison, il est important de choisir un espace confortable. Si vous avez la possibilité, choisissez de travailler depuis votre lit. Personnellement, cette option ne me parait pas optimale. Mais vous pouvez aménager un endroit chez vous qui pourrait vous servir de bureau. Cet endroit pourrait être votre salon ou la chambre avec un siège confortable. L’essentiel est d’éviter les distractions afin de rester concentré et productif.

Dans le même sens, vous pouvez choisir de sortir de la maison, d’aller vers des lieux publics mais calmes. Il peut s’agir d’un endroit qui fait face à la mer ou d’un cyber café. L’objectif est de garder vos outils de travail comme votre ordinateur et avoir accès à une connexion internet. Cependant, je vous recommande de garder vos habitudes. Prendre une douche et s’habiller, par exemple, aide certaines personnes à comprendre qu’ils vont commencer le travail.

2.     Délimiter son temps de travail et définir des objectifs

Il est important, pour être productif quand on travail de chez soi, de délimiter ses heures d’activité. La discipline permet de rester productif dans toute tâche. Ainsi, si vous définissez vos horaires de travail dans une journée, vous savez quand il faut travailler et quand il faudra vous reposer.

Évidemment, à première impression, travailler de chez soi donne l’idée des heures flexibles et adaptées et non sous la pression d’un supérieur hiérarchique. Mais, se faisant, la procrastination n’est pas loin. C’est pour cela qu’il est conseillé de définir des objectifs journaliers, hebdomadaires et de les tenir dans les horaires fixés.
De même, il est important de prendre des temps de pause pour reprendre le travail en bonne forme. Il ne faudra donc pas vous empêcher de prendre quelques minutes de distraction, mais définissez ce temps de pause dans le planning journalier et respectez-le.

3.     Travailler à son rythme : relax et zen !

Nous traversons des moments assez stressants déjà ! Il ne faudrait pas en rajouter quand vous travaillez de chez vous… C’est vrai que nous visons la productivité mais il est inutile de se mettre une pression monstre. Puisque travailler de chez soi donne plus de libertés, c’est le moment idéal pour vous organiser de façon à réfléchir à d’autres pans de votre vie.

C’est l’occasion de penser à votre vie personnelle, professionnelle, de planifier vos prochaines vacances, de passer plus de temps en famille, penser au futur et envisager de nouveaux projets comme la création de cette entreprise dont vous rêvez depuis. Si vous voulez des astuces et conseils d’entrepreneurs, je vous invite à lire mon ouvrage portant sur l’Audace d’Entreprendre.

Rester productif quand on travaille de chez soi : que retenir ?

Les astuces que j’ai partagé avec vous et que j’applique, au quotidien, peuvent se résumer à trois fondamentaux pour rester productif quand on travaille de chez soi. Il faudra donc retenir qu’il est important de bien choisir son espace de travail (à la maison ou ailleurs), de délimiter son temps de travail (se définir des objectifs et les respecter) et surtout de travailler à son rythme.

Merci d’avoir lu jusqu’ici. Si vous avez d’autres astuces pour rester productif quand on travaille de chez soi, n’hésitez pas à les partager en commentaires. Si cet article sur les astuces pour rendre le télétravail agréable vous a été utile, partagez-le à travers les réseaux sociaux !


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Ouvrage collectif : L’entrepreneuriat axé sur le développement durable

« L’entrepreneuriat axé sur le développement durable » est un ouvrage co-écrit par trois auteurs : Christian OWONA EYENGA, L. Miriame Bénédicte TRAORE et José Herbert AHODODE. Trois jeunes auteurs, passionnés des questions de développement, férus de l’écriture, ont entrepris d’écrire un ouvrage collectif sur l’entrepreneuriat des jeunes dans le contexte africain. Les jeunes auteurs se sont retrouvés pour la première fois, en 2019, à l’occasion de la résidence des alumni des programmes d’échanges et de volontariat pilotée par le programme AGYI (African German Youth Initiative) à Grand-Popo (Bénin).

Des diverses discussions sont ressorties des passions communes pour les thématiques en lien avec le développement durable. Les nouveaux amis ont nourri de fructueux échanges sur leurs ambitions communes et leurs passions partagées pour l’écriture. Et voilà la genèse de l’ouvrage, objet du présent article.

Avant d’aborder le contenu de l’ouvrage, il parait opportun de présenter, brièvement, les co-auteurs : (1) Christian Owona Eyenga est un jeune camerounais, auteur – écrivain – chercheur, titulaire d’un master en science politique, spécialisé en relations internationales et études stratégiques ; (2) L. Miriame Bénédicte Traore est une jeune burkinabé, écrivaine, juriste de formation, spécialisée en droit public ; (3) José Herbert Ahodode est un jeune béninois, auteur – écrivain – entrepreneur, titulaire d’un master en agronomie, spécialisé en économie et sociologie rurales, consultant formateur sur les chaines de valeur agricoles.

Les co-auteurs, aux constats, sont pluridisciplinaires et c’est justement la pluralité des compétences qui constitue la richesse du contenu de l’ouvrage. En effet, l’entrepreneuriat jeune en Afrique subsaharienne est devenu indispensable pour la prospérité du continent. De nombreux jeunes africains s’aventurent dans l’entrepreneuriat sans aucune maîtrise des techniques et méthodes de mise en œuvre d’un projet. C’est la raison pour laquelle on assiste sans cesse à l’échec de leurs activités. Cet ouvrage « L’entrepreneuriat axé sur le développement durable – Entrepreneuriat des jeunes : techniques et outils face aux enjeux de développement » est un guide pratique pour conseiller les futurs jeunes leaders dans cette belle aventure qu’est l’entrepreneuriat.

Le continent africain possède l’une des populations les plus jeunes de la planète. Celle-ci est estimée à environ 70% ; cette population est en partie basée dans sa région sub-saharienne dont la moyenne d’âge se trouve sous la barre des 30 ans. Ces jeunes hommes et femmes qui font face aux enjeux de développement se trouvent être des acteurs incontournables de l’émergence et du développement local dans les secteurs politique, économique, culturel, environnement durable, etc. Cependant, ceux-ci se heurtent à certains obstacles d’ordre conceptuel liés au système classique de leurs systèmes de formation ou d’enseignement (celui qui consiste à s’instruire et acquérir juste les connaissances classico-théoriques et donc l’objectif est de servir exclusivement dans le secteur public). Or le secteur public n’a jamais développé un État.

Aujourd’hui, il devient capital qu’il puisse s’arrimer et être en mesure de rivaliser avec les autres acteurs de la globalisation. C’est cet ensemble d’éléments qui illustrent à suffisance que cette jeunesse puisse se trouver en marge du développement.

Il devient donc impératif que la jeunesse s’oriente vers un entrepreneuriat « contractualisé » répondant à ses attentes et besoins immédiats avec des impacts visibles à court et à long-terme. Il faut aussi noter que de nombreuses organisations apportent déjà leur expertise, bien encore minime parce qu’elles visent une minorité prioritairement les « jeunes instruits » à travers des séminaires de formation, d’échanges ou de mentorat (Fonds d’innovation AGYI de la GIZ, le Programme d’entrepreneuriat Tony Elumelu).

Ces initiatives bien qu’étant louables, comportent un ensemble de lapsus à l’exemple d’absence réelle de véritable politique de suivi post formation des anciens apprenants ainsi que des subventions et des financements. En outre, les politiques d’aide et d’appuis aux formations de ces différentes organisations qui œuvrent dans le soutien de l’entrepreneuriat jeune dans la région sont trop sélectives et discriminatoires c’est-à-dire pas accessibles à tous les jeunes.

En effet, le continent africain est caractérisé par un environnement économique peu favorable à la production, à l’éclosion de l’initiative privée et à l’émergence des pôles régionaux de développement, d’une déficience des normes et structures sociales, d’un faible niveau de culture politique des acteurs, d’une gouvernance qui se cherche indéfiniment, d’un analphabétisme en matière d’écologie, d’une détérioration des valeurs culturelles engendrant une progressive perte de repères identitaires et d’une technologie quasi-inexistante. Aussi, les populations aspirent-elles à des Etats acteurs et véritables facilitateurs du développement économique, un secteur privé dynamique, entreprenant et innovateur, une économie prospère et compétitive, l’émergence de pôles régionaux de développement viables.

C’est au regard des grands défis de développement, de la connaissance du vécu des populations, que les trois jeunes Auteurs provenant du Bénin, du Burkina-Faso et du Cameroun ont pris l’option de s’engager dans une réflexion collective. Il s’agit de jeter un regard analytique sur les principaux enjeux de développement du continent mère, l’Afrique.

C’est à l’œuvre et beaucoup d’initiatives à travers le continent permettent de voir une jeunesse en pleine mutation, consciente des enjeux et défis du développement et déterminée à s’engager. Puisse cet ouvrage apporter sa petite pierre à la construction d’une dynamique en cours, celle du développement.

 

Par ailleurs, l’un des objectifs de l’ouvrage est d’éveiller la conscience de la jeunesse, en apportant des éclaircissements sur les notions d’entrepreneuriat, de leadership et sur comment avoir des financements pour démarrer des projets.

Beaucoup de jeunes suivent des formations théoriques sur l’entrepreneuriat où on leur répète les mêmes choses : entreprendre c’est prendre des risques, c’est identifier un problème à résoudre, etc.

Mais en pratique, les jeunes ressortent de ces formations sans n’avoir presque rien assimilé. Ils sont donc nombreux, ces jeunes, qui entreprennent juste parce qu’ils sont au chômage et dès l’apparition des difficultés, ces derniers abandonnent.

L’entrepreneuriat est un domaine plus complexe que ce qui est enseigné. Quand on parle d’entrepreneuriat, beaucoup voient le résultat et non le processus ; pourtant le processus est long et douloureux.

Dans notre marche vers la création d’une entreprise, beaucoup d’organismes sont prêts à nous accompagner financièrement tels que la GIZ, USAID, UBA et bien d’autres.

Il incombe alors à chacun de connaitre ces organismes et les mesures dans lesquelles ils octroient les financements. Il n’est pas aisé d’obtenir un financement pour un projet et les organismes non plus ne peuvent se permettre de financer n’importe quel projet. A cet effet, faut-il le rappeler, au 21ème siècle, les entreprises doivent avoir un but particulier qui réponde au contexte d’améliorer les conditions de vie de la communauté.

Particulièrement, dans le contexte africain, l’entrepreneuriat doit répondre à certains critères. Les Objectifs du Développement Durables (ODD) édictés par l’ONU et les aspirations de l’agenda 2063 de l’Union Africaine (UA) cadrent bien avec les buts que nos entreprises doivent viser. Dans cet ouvrage, il a été tout aussi question des ODD qui demeurent encore une obscurité pour beaucoup de jeunes en Afrique et qui, pourtant sont impératifs pour un jeune entrepreneur.

Cet essai analytique vise principalement à donner des réponses concrètes aux jeunes du continent et d’ailleurs mais prioritairement aux jeunes qui aimeraient s’engager dans l’entrepreneuriat mais qui ne maîtrisent pas les jeux et enjeux de conception d’un projet. Le but étant qu’ils puissent être aptes à faire face aux différents enjeux socio-politiques, économiques, environnementaux… auxquels ils sont confrontés dans leur milieu.

Il faut relever ici, qu’avant de parler d’entrepreneuriat ou de réalisation d’un projet, l’acteur ou le porteur d’idée innovante devrait se rassurer de remplir et répondre à un certain nombre de critères et de conditions. Les critères sont liés aux enjeux de développement global (agenda 2030 et agenda 2063). Tout projet d’innovation doit d’abord être en mesure de résoudre au moins deux à plusieurs problèmes palpables des objectifs de développement durable et des aspirations « africaines ».

Dans la logique des conditions que doit remplir l’acteur de l’innovation, il faut qu’il développe certaines capacités (dont le leadership) qui l’aideront à concevoir (monter le projet) et à convaincre les autres acteurs indispensables à son projet de le suivre dans la mise en œuvre et le suivi de son initiative (financement). On peut donc comprendre que la création d’une entreprise nécessite un ensemble de techniques et de méthodes utiles à éprouver.

Pour faciliter la compréhension de la réalisation effective d’une idée entrepreneuriale, il faut faire appel à un ensemble de questionnements auxquels ce manuscrit se porte garant de répondre et d’apporter des approches réalistes : primo, comment amener les jeunes futurs entrepreneurs à comprendre les jeux et enjeux des objectifs de développement durable pour que ces derniers puissent participer au développement local de façon efficiente et efficace ?

Secundo, quelles sont les qualités qu’ils doivent cultiver afin d’être plus compétitifs et rentables non seulement à court terme mais aussi à long-terme ?

Après, comment doivent-ils faire pour élaborer et réaliser un projet viable ? Enfin, quels sont les conditions et critères à remplir pour solliciter un financement de la part d’un potentiel investisseur ?

Tout au long de l’argumentaire construit dans cet ouvrage, il a donc été question, premièrement de présenter et réexpliquer les ODD et l’agenda 2063 de l’Union Africaine pour mieux faire comprendre le but de ces politiques publiques aux jeunes. Deuxièmement, il s’agit d’amener le jeune entrepreneur à développer et à cultiver certaines aptitudes et atouts de sorte qu’il puisse avoir les outils de management des ressources humaines en toute circonstance.

Troisièmement, cet écrit apporte un ensemble de techniques et d’outils de base indispensables à tout jeune pour concevoir, mettre en œuvre et réaliser un projet.

Enfin, l’un des problèmes majeurs ou freins à la viabilité des projets de jeunesse est, et demeure, le financement ; cet essai, dans une moindre mesure, apporte quelques éléments de réponse aux entrepreneurs sur la conduite à tenir pour bénéficier d’une aide financière en expliquant les procédures de soumissions de projets à certains partenaires.

Voilà le contenu de l’ouvrage ainsi largement présenté… Il vous est, dès maintenant, loisible d’acquérir votre exemplaire de cet ouvrage en contactant, via WhatsApp, les numéros communiqués plus bas. Nous ferons le nécessaire pour vous faire livrer à Ouagadougou, Cotonou, Dakar et dans d’autres villes africaines en fonction de nos possibilités. 

Si ce n’est pour vous, achetez cet ouvrage pour un jeune frère ou une jeune sœur à l’autre bout du continent africain !

A toutes fins utiles, pour mettre des visages sur les noms des co-auteurs du présent ouvrage, ainsi que dans la perspective des prises de contact pour de prochaines collaborations, voici leurs photos et contacts.

Christian OWONA EYENGA

+221 77 716 08 53

José Herbert AHODODE

+32 465 98 11 24

Si vous êtes au Bénin, ou partout dans le Monde, vous pouvez commander votre exemplaire de l’ouvrage chez Bookconekt et vous faire livrer.

Comme dit plus haut, n’hésitez pas à contacter les co-auteurs pour des collaborations et des synergies d’actions au profit de la jeunesse africaine.

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Leadership féminin : 03 femmes africaines qui font bouger les lignes

Le leadership n’est pas seulement une affaire d’homme comme la plupart le pensent. C’est aussi un secteur où l’on retrouve les femmes. Pour preuve, il y a plusieurs femmes dans le monde et en Afrique qui ont su se faire une grande renommée dans cet univers.

Voici trois modèles de femmes qui font la fierté africaine en termes de Leadership féminin. Leur parcours en bref pourrait vous inspirer. Cliquez pour tweeter

Lisez donc cet article jusqu’à la fin. Vous aurez peut-être d’autres femmes leaders à citer en commentaire. Allons-y !

1. Folorunsho Alakija

Folorunsho ALAKIDJA

Une super eagle influente

C’est la femme la plus influente et de loin la plus riche de tout le Nigeria et de l’Afrique. Sa fortune selon le célèbre magazine américain est estimée à plus d’un milliard de dollars. Folorunsho Alakija représente pour la plupart des femmes aujourd’hui un modèle de réussite dans le monde des affaires. Elle est issue d’une famille nombreuse, 52 frères et sœurs. Personne ne pouvait l’imaginer avec une telle réussite et cette fortune. Mais grâce à son acharnement et sa détermination, elle a su démontrer son modèle de leadership féminin en se faisant une place dans un monde où la gent masculine tient quasiment les rennes.

Une entrepreneure d’exception

Alakija a commencé les affaires en créant sa propre marque d’habillement Supreme Stitches. Grâce au succès de cette première entreprise, elle investit ensuite dans le secteur de l’édition des livres et crée par la suite un groupe d’imprimerie, Digital Reality.

Cependant, l’aspect le plus important de sa carrière de femme d’affaires reste le jour où elle décida de se tourner vers les hydrocarbures. Un secteur qui sera à la base de sa fortune. En effet, après la guerre du Golfe en 1993, un bloc pétrolier de 250 000 hectares a été mis en vente, mais personne n’en voulait. Alakija prit donc la décision de s’en approprier. Dans les années 2000, les réserves de ce puits ont été estimées à 1 milliard de barils.

2. Angélique KIDJO

La musique comme arme

La chanteuse et ambassadrice internationale de l’ONU est reconnue partout dans le monde pour son sens des affaires et son engagement pour la cause de la gent féminine. C’est d’ailleurs cet engagement qui lui a permis de figurer dans le top des 50 femmes africaines les plus puissantes selon le magazine américain Forbes. Ceci est rendu possible notamment grâce à sa quatrième victoire au Grammy Awards 2020 avec son dernier disque Célia sorti en 2019.

Angélique KIDJO

Modèle de leadership féminin

Angélique Kidjo est désormais classée aux côtés des femmes leaders du continent qui se sont distinguées dans plusieurs domaines. Vous avez entre autres les affaires, les médias, la politique, le sport, la vie publique et les sciences. Elle est également citée comme exemple type en ce qui concerne le leadership féminin. La native de Ouidah, cité historique du bénin, est aussi très engagée dans l’autonomisation des femmes africaines via les actions de sa Fondation Batonga.

3. Ayodélé OGNIN

Une jeune experte des finances

Seulement âgée de 30 ans, cette jeune femme béninoise écrit déjà son nom dans la liste des femmes africaines reconnues pour leur leadership. En effet, Ayodélé OGNIN est une professionnelle de la finance spécialisée sur les marchés en Afrique. Elle cumule environ 8 ans d’expérience dans ce domaine notamment au sein de plusieurs groupes et institutions financières d’Afrique.  Elle a travaillé sur les transactions qui impliquent des opérations de trésorerie et la gestion des actifs, la microfinance, le private equity et la banque d’investissement.

Ayodele OGNIN

Une figure du leadership féminin engagée dans l’impact

Afin de se rapprocher un peu plus de la gent féminine à la base, elle a créé Wurami Consulting qui est une boite spécialisée dans l’accompagnement des entrepreneuses PME au Bénin, mais aussi en Afrique.

Dame Ayodélé s’engage ainsi dans la lutte contre la pauvreté et autres vices qui minent l’épanouissement de la femme Africaine. À travers ses actions, elle cherche également à promouvoir la scolarisation des enfants et l’autonomisation de la femme africaine. De plus, elle a mis en place l’initiative Women Empowerment Masterclass, un mouvement de renforcement des capacités des femmes qui compte aujourd’hui plus de 15 000 bénéficiaires. Elle compte tout de même atteindre 100 000 femmes d’ici 2022.

De nombreuses femmes africaines développent un leadership exceptionnel partout dans le monde. Grâce à leurs compétences et expertises, elles impressionnent et font la fierté du continent. Dans cet article, nous avons présenté trois d’entre-elles qui pourraient servir de modèles  aux plus jeunes. Que vous inspirent ces trois modèles de leadership féminin ? Partagez cet article dans vos réseaux.

Cet article a été premièrement publié sur le site youthforchallenge.com par Cyrille Felly BONOU, Agronome de formation, passionné du développement durable et numérique.

 

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